Mise en scène : Julie Burnier et Frédéric Ozier
Texte & dramaturgie : Nicolas Yazgi
Composition Musicale : Yves-Ali Zahno
Collaboration artistique & direction d’acteurs : Sophie Pasquet
Scénographie et réalisation marionnettes : Christophe Kiss
Costumes marionnettes : Verena Dubach
Jeu, chant et manipulation : Julie Burnier, Cédric Leproust, François Karlen, Frédéric Ozier et Selvi Pürro
Création lumières : Antoine Friderici
Sonorisation : Harold Maldwyn Weber
Coach vocal : Aline Sumi
Costumes : Amandine Rutschmann
Accessoires : Janice Siegrist
Création Maquillage : Zori Ivanova
Ingénieur du son et mixage : Bernard Amaudruz (Studio Artefax)
Claviers : Alexis Gfeller
Batterie : Christophe Calpini
Guitares, basse : Yves Ali Zahno
Violoncelle : Sara Oswald
Trombone, euphonium : Andrea Esperti
Production déléguée: Le petit théâtre de Lausanne
Co-production : Cie Pied de Biche Le petit théâtre de Lausanne Théâtre des Marionnettes de Genève, Service de la Culture de la Ville de Gland
Subvention :
La Loterie Romande, La Ville de Lausanne, Le Canton de Vaud, La Goehner Stiftung, Pour-Cent culturel Migros, La FAC de Nyon.
La ville commerçante de Hamelin prospère au-delà de toutes limites. Les réserves excessives de nourriture invitent un raz-de-marée de rongeurs qui détruit tout sur son passage et menace de transmettre la peste noire.
Arrive un artiste jouant sur sa modeste flûte d’hypnotiques mélodies permettant de sauver la cité. Trompé et chassé par les habitants avides, l’enchanteur leur promet la plus terrible des vengeances.
Inspiré de la légende du Joueur de flûte de Hamelin qui envoûte l’imaginaire européen depuis le 16e siècle, ce conte musical endiablé fusionne le fantastique et le mythologique. Les comédiens-chanteurs, flanqués de marionnettes aux tailles changeantes, déclinent une folle sarabande qui tour à tour émerveille, inquiète, fait rire et interroge. Quelle peut être la place des enfants et des artistes dans une société vouée au profit sans fin ? Le musicien cache-t-il un impitoyable justicier ou un passeur éclairé entre différents mondes ? En se rebellant contre l’injustice, offre-t-il aux plus jeunes un espace de liberté qui leur était jusqu’à lors interdit ?
« L’argent est richesse morte, les enfants richesse vivante » dit un vieux proverbe d’Orient.