Revue de presse

Nils : le merveilleux voyage

« Un véritable Joyau de Poésie. Tout est beau dans ce périple (…) Un Enchantement. »

24Heures, Natacha Rossel, 13 Décembre 2019. Consulter l’Article entier en PDF


« Un conte initiatique qui apprend aux enfants à grandir en toute légereté »

Le Temps, Marie-Pierre Genecand. 13 Décembre 2019. Consulter l’Article entier en PDF


« La Compagnie Pied de Biche fait ainsi une nouvelle fois preuve d’une grande ingéniosité, alliant humour et poésie dans un pièce d’une grande beauté »

Le Courrier, Laurence Chiri, 12 Décembre 2019. Consulter l’Article entier en PDF


« On rit et on frissonne »

RTS-Culture, Thierry Sartoretti, 5 Décembre 2019. Consulter l’Article entier en PDF

à écouter:  Thierry Sartoretti retrace la naissance de notre petit héros mythique imaginé par lʹautrice et prix Nobel Selma Lagerlöf, parle du spectacle et nous interviewe.

RTS-Espace 2, Nectar, 2 décembre 2019, version complète (20 minutes)

RTS-La1ère, Vertigo, 3 décembre 2019, version résumée (6.30 minutes)


« Souffle de fraîcheur et hymne à la liberté, Nils – le merveilleux voyage met en scène un véritable conte philosophique et éthique, qui propose aux enfants de riches réflexions sur les différents âges et étapes de la vie, sur ce que signifie grandir, sur l’entraide et le respect mutuel des hommes et sur leurs rapports aux animaux et à la nature dans une belle leçon d’harmonie. »

« Prendre son envol », par Jade Lambelet, L’Atelier Critique, 30 janvier 2020. Lire toute la critique sur le web


« Les enfants en ressortent ravis, les parents se sont vite laissé emporter par la poésie et les excellentes astuces de la mise en scène »
La Liberté, Aurélie Lebreau, 5 Mars 2020. Consulter l’article entier en PDF


A voir également sur facebook: un reportage de NRTV, Nyon Region TV – Début minute 13’23. Lien vers le reportage

 

Abasia, périble en pays chagrin.

« Une création prenante et sans concessions »

« ABASIA, la nouvelle création de la Compagnie Pied de biche, ne prendra pas de gants pour parler de cette maladie mentale qui détruit tout sur son passage. »

« (…) ce conte fantasmagorique pour adultes, flottant comme un rêve poétique et où tout crie l’isolement. (…)  Mais où la guérison est collective et la fragilité humaine. »

« Un tournant artistique pour la compagnie. »

Le Temps, Virginie Nussbaum, 25 septembre 2018. Consulter l’article entier en PDF.


« Abasia, périple en pays chagrin, explore la souffrance mentale d’un homme avec énergie, poésie et humour. »

« Conte contemporain, Abasia est un parcours initiatique »

Le Courrier,  Emmanuelle Fournier-Lorenz, 17 septembre 2018. Consulter l’article entier en PDF.

 

Adieu, Papa !

« Un spectacle intelligent, bien écrit, bien joué  (…) A quoi doit-on cette réussite ? À l’écriture originale. À une mise en scène très dynamique : un gros travail sur l’image, le son, les lumières. Et, vraiment, au fait que l’équipe ne prend pas les enfants pour des êtres inférieurs » RTS la 1ère, Vertigo, Laurence Froidevaux, 22.02.17 – Ecouter l’émission


La grande échappée d’une toute petite fille (…) la compagnie Pied de Biche imagine un périple façonné au gré de la créativité
d’une petite fille. Dense et ingénieux. Adieu, papa! Le titre est presque inquiétant pour un spectacle pour enfants esquissant une relation père-fille d’un réalisme parfois troublant. (…) un joyau théâtral dont petits et grands sauront apprécier les nombreux mérites (…) Impossible de ne pas embarquer dans un système où l’imagination est libre de toute contrainte et où évasion rime avec poésie. Une cabine de douche se mue ainsi en fonds marins, un drap de lit en dunes sahariennes. Le spectacle célèbre les prodiges de l’imagination; on découvre deux mondes qui se cherchent et tentent de se rencontrer, la dure réalité des adultes se dressant contre un imaginaire enfantin et doux. (…) L’imaginaire foisonnant de l’héroïne, son monde intérieur cristallisé sur scène tient à la fois lieu d’échappatoire et de remède… comme le théâtre à l’évidence. Proposé aux enfants dès quatre ans, le spectacle touche petits et grands. Astucieusement construit, il révèle également ce que les enfants peuvent enseigner à leurs parents sur leur vie s’ils veulent bien les écouter. Le Courrier, 31 janvier 2017, Laurence Chiri.


«Adieu, papa!» rehausse la réalité d’imaginaire
Après le succès public et critique de son Dératiseur de Hamelin, il y a deux ans, la Cie Pied de Biche poursuit son exploration des spectacles jeune public. (…) Pour célébrer l’imagination avec laquelle les petits réinventent sans gêne la réalité des adultes, Julie Burnier et Frédéric Ozier (aidés sur scène par Diane Müller) gratifient le texte de Nicolas Yazgi d’une mise en scène ludique et léchée, avec un soin particulier apporté à l’éclairage, à la bande-son comme à la scénographie, en perpétuelle transformation. Les artistes vaudois pratiquent un théâtre d’objets qui mélange comédiens et marionnettes. Ils réussissent à entraîner petits et grands – tout le monde s’y retrouve – dans cette épopée fantasque et drôle qui passe par l’espace intersidéral, les sables du désert ou encore les abysses (très poétiques) de l’océan. Des contrées au détour desquelles d’étranges créatures prennent vie – un tartare aux allures de T-Rex, des cousins-coussins maghrébins. Une tentation, pour Margot, de ne jamais revenir. 24heures, 25 janvier 2017, Gérald Cordonier


Le Dératiseur de Hamelin

RTS info – l’invité culturel (27 avril 2015) – Ecouter l’émission
Frédéric Ozier, metteur en scène et comédien, a cosigné « le Dératiseur de Hamelin » 27 avril 2015


RTS – Les Matinales d’Espace 2 (26 janvier 2015) – Ecouter l’émission
Critique de Thierry Sartoretti, en dialogue avec Florence Grivel.
« Cette version lestement écrite par Nicolas Yazgi regorge d’humour et de dialogues qui font mouche »


« Visuellement captivant, le spectacle est osé et jubilatoire (…) La mise en scène de Frédéric Ozier et Julie Burnier séduit par ses effets de surprise. Et son art du contraste. » Le Temps, 26 février 2015


«Le Dératiseur de Hamelin» revisite la légende sans vergogne, mais avec brio. (…) «Le secret de la fortune, c’est de se faire plein de thunes. Faut accumuler sans re­lâche, traire les autres comme des vaches. Hamelin, c’est nous les plus malins. Notre petit pat’lin est plus riche que Berlin.» Voilà un refrain qui donne le ton de ce Dératiseur de Hamelin rock’n’roll et hilarant, immanquable par le jeune public et ses aînés car à plusieurs lectures. (…) Parodie du pouvoir, le texte de Nicolas Yazgi ne lésine pas sur les figures de langage désopilantes et les dialogues acidulés (…). Ici, la musique n’a pas adouci les mœurs. Le rock déjanté souffle comme un raz-de- marée accentuant encore la face sombre d’un monde régi par le profit, hier comme aujourd’hui. Le Courrier, Vendredi 30 janvier 2015, Cécile Dalla Torre
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La Compagnie Pied de Biche crée au Théâtre des Marionnettes de Genève «Le Dératiseur de Hamelin», inspiré d’une légende du XIIIe siècle. Visuellement captivant, le spectacle est osé et jubilatoire (…). La nouvelle création de la Compagnie Pied de Biche enchante par ces moments qui suspendent le temps, mais pas seulement. En livrant une version très rythmée (et culottée) du Joueur de flûte de Hamelin, la troupe vaudoise s’illustre dans différents registres. Jeu, chant, marionnettes, variations d’échelles: l’étendue de son talent donne de l’étoffe à une légende née au XIIIe siècle, largement popularisée par les frères Grimm. Le Temps, 6 février 2015, Khadidja Sahli
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24 Heures, Un musicien dératiseur ensorcelle les enfants, 23 avril 2015
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(…) Créé et présenté comme un monde fascinant pour les enfants, ce spectacle aborde tout de même des thèmes pro- fonds et philosophiques de la vie : enfance, art et civilisation, pouvoir, injustice, inégalité, vengeance, mort. Le tout dans un savou- reux mélange hétéroclite entre le terreau originel de la fable et des facettes plus rock’n’roll ; où le poste radio rétro côtoie l’aspirine et la « guitare électrique », dans un décor du XIIIe siècle. Cette mise en scène déjantée, rock’n’roll et poétique, pousse indéniablement petits (dès 7 ans) et grands à la réflexion. Un fabuleux moment, hors du temps, où chacun de nous sourit (ou -RAT !), à vivre absolument au Petit Théâtre de Lausanne (…). L’Atelier critique, 26 avril 2015, Maëlle Andrey
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Le Démon après midi

RTS, La Première, Nicolas Yazgi, auteur et dramaturge, est l’invité de l’émission – Ecouter l’émission


Il va vous arriver quelque chose

La Télé – CultureMix (vendredi 22 novembre 2013) – Regarder l’émission


Si seulement je pouvais avoir peur !

«Le spectacle retrace le parcours initiatique d’un garçon entraîné par des mésaventures en cascade parce qu’il ne ressent aucune peur. Le Public vit l’histoire et rit beaucoup: les petits comme les pré-ados et les parents qui redécouvrent le plaisir troublant des peurs enfantines. » L’Express, 27 janvier 2012

A la même date, l’Express propose un portrait de Nicolas Yazgi autour du projet
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La Cie Pied de Biche amuse et inquiète avec «Si seulement je pouvais avoir peur», un spectacle diablement ingénieux présenté à Lausanne et ailleurs en Suisse romande. (…) A travers un théâtre de marionnettes burlesque, la compagnie lausannoise Pied de Biche offre au public de la Maison de Quartier de Chailly un moment d’une grande qualité. Ce spectacle tout public (dès 6 ans) interroge, amuse et inquiète quiconque ayant déjà ressenti même le plus minime frisson de peur. Il parvient à évoquer un thème, une préoccupation majeure de l’enfance, tout en proposant de l’exorciser par le spectacle. Le but n’est donc pas d’effrayer le public, quel que soit son âge, mais bien au contraire de l’amuser en jouant avec la peur et ses aspects comiques. (…) La compagnie Pied de Biche s’est ainsi réapproprié le texte et l’a sensiblement actualisé. Les motifs des contes initiatiques sont parodiés et les outils de la quête – une aspirine, une fourchette à fondue et un salsifis – sont autant de clins d’œil adressés au public adulte. Gestes, mimiques, attitudes et tons, tout concourt à susciter le rire ou l’inquiétude. On savoure chaque instant et le rythme, accentué par le jeu des lumières et l’univers sonore, crée une œuvre d’une brillante ingéniosité. Le Courrier,  1 décembre 2011, Laurence Loewer


Espace 2 – Dare-dare (23.12.11) – Ecouter l’émission


RTS 1ère – Rien n’est joué avec Madeleine Caboche (27.1.12) – Ecouter l’émission


oneFM – Un café, l’addition (mercredi 4 decembre 2013) – Ecouter l’émission


Pinocchio ou l’aventure d’un pantin rebelle

« Comédiens et metteurs en scène proposent un Pinocchio burlesque, touchant et poétique (…) six comédiens entraînent le public dans un tourbillon d’ingéniosité et de dynamisme.(… ) Humour suspense, poésie s’enchevêtrent et se rencontrent pour donner forme à un récit initiatique fonctionnant à merveille. »

« Pinocchio » est l’occasion d’une belle rencontre entre les compagnies des artpenteurs et Pied de Biche. En tournée vaudoise. (…) Comédiens et metteurs en scène, Frédéric Ozier et Thierry Crozat proposent un Pinocchio burlesque, touchant et poétique.  Sous le chapiteau intimiste des ArTpenteurs, six comédiens entraînent le public dans un tourbillon d’ingéniosité et de dynamisme.(… ) les aventures du pantin sont ici brillamment sélectionnées et orchestrées. Humour suspense, poésie s’enchevêtrent et se rencontrent pour donner forme à un récit initiatique fonctionnant à merveille (…).
Le Courrier, 7 mai 2011, p.18, Laurence Loewer


Le Vaillant Petit Tailleur

Un conte défoncé  au pied-de- biche. Déjanté, rock’n’roll et hautement recommandable. (…) Les objets les plus anodins sont mis ici à profit. Une trottinette peinte en blanc fera office de licorne, quelques boîtes de conserves et couteaux, une armée de cavaliers. L’imaginaire entre en ébullition. Des bribes de pop classieuse saupoudrent de ci de là l’onirique spectacle
de savoureux anachronismes. Le tour est joué. Déjanté, superspeed, rigolo et plein de finesse. «Du théâtre garage», synthétise Frédéric Ozier avec la même insolente confiance en lui qu’affiche son petit tailleur. Le résultat parle à l’enfant qui est en chacun. Probablement plus qu’aux véritables enfants, en qui il devrait infuser un moment avant de porter ses fruits, l’adolescence venue.
24 heures, 11 mai 2007


Les Bacchantes

Redoutables plaisirs. (…) Des Bacchantes d’Euripide, tragédie écrite quatre siècles av.  J.–C, le metteur en scène Frédéric Ozier célèbre les violents contrastes qui divisent la nature humaine. La lutte infernale qui oppose la rigueur et la rationalité de Penthée à l’animalité barbare de Dyonisos s’étend au choix de la scénographie et au parti pris quant au jeu. La scène est comme prise en étau entre les murs rectilignes du palais et une végétation débordante, tandis que le jeu est tour à tour burlesque ou tragique, comme les deux éléments du yin et yang: indissociables. (…)
24 heures Région La Côte; 5 Novembre 2005, page 13, Anne-Sylvie Sprenger